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L’optimisme : facteur de réussite étudiante
Publié le : 21/08/2007

La capacité à voir le bon côté des choses se révèle être un facteur majeur de réussite, que ce soit dans la vie professionnelle, ou bien dans la vie étudiante ! Les étudiants optimistes ont souvent de meilleurs résultats scolaires, et réussissent mieux leurs études. Cela a trait à la capacité qu’ont les personnes optimistes à essayer de toujours voir le bon côté des choses et essayer de trouver une solution, plutôt que de se focaliser et être bloqués par le mauvais côté des choses. C’est un peu comme voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. Dans les deux cas la réalité est la même, la seule chose qui change est notre façon d’interpréter cette réalité et le sens qu’on lui donne. Devant un échec un étudiant peut se sentir découragé et risquer d’abandonner ce qu’il a entrepris, un autre peut se sentir encouragé pour plus travailler afin de mieux faire la prochaine fois… La différence est juste une question d’état d’esprit.

 

L’optimisme : un état d’esprit de gagnants

 

Qui a le plus de problèmes ? Les optimistes ou les pessimistes ? En vérité les optimistes connaissent autant de problèmes que les pessimistes. Tout le monde a des défis à relever. Même la personne la plus riche au monde a des problèmes et des défis à relever. En vérité les seules personnes qui n’ont pas de problèmes reposent dans les cimetières. Alors qu’est ce qui change ? L’état d’esprit des gens fait toute la différence. Les optimistes connaissent autant d’échecs et commettent autant d’erreurs que les autres. Mais contrairement aux pessimistes, ils ont la conviction que chaque défis cache en lui une leçon utile, et que l’échec est temporaire. Ils sont donc enclins à mieux supporter les difficultés passagères, et de tirer des leçons utiles de leurs échecs, ce qui leur permettra de mieux réussir par la suite. Les étudiants ont donc intérêt à avoir cet état d’esprit afin de mieux réussir leurs études, et leur future carrière professionnelle.

 

L’optimisme, ça se cultive

 

Tout comme les études, l’optimiste ça s’apprend et ça se cultive. Il n’existe pas de fatalité. Rater un examen n’est pas une fatalité. On ne peut pas tout réussir du premier coup. L’important c’est de savoir rebondir et de tirer une leçon de nos échecs. Voilà pourquoi il est judicieux d’être optimiste. L’étudiant optimiste sait qu’il doit s’attendre à relever plusieurs défis au cours de sa vie, et s’il est réaliste il sait très bien que les choses ne vont pas forcément toujours se passer selon ses désirs. Si les choses ne se passent pas comme prévu, ce n’est pas une raison pour se laisser abattre, mais au contraire le moment de tirer de précieuses leçons des erreurs commises, afin de mieux faire par la suite. Pourquoi cela ? Tout simplement parce que la vie ne s’arrête pas à un échec. La vie est faite de défis et aussi de réussites. Tout comme les études !

 

L’étudiant optimiste

 

L’optimisme n’est pas un état d’esprit suffisant et béat qui consiste à dire : « Je vois les bons côtés des choses, même si je rate mon examen ce n’est pas grave car je suis un optimiste » et de ne rien faire. L’optimisme ne doit pas devenir une excuse pour ne pas travailler, et avoir une confiance aveugle en l’avenir. En clair être optimiste ne suffit pas pour réussir ses études. Pour réussir ses études il faut travailler. L’optimiste tire des leçons de ses échecs, pour savoir quoi améliorer, et aller de l’avant.

 

Un optimiste est une personne qui a l’intime conviction que même si elle ne réussit pas une chose, ce n’est pas une fatalité, elle peut s’améliorer, progresser, finir par réussir. L’optimiste ne se laisse pas abattre, mais est prêt à se battre. Et comme le dit un philosophe : « Si le pessimisme est d’humeur, l’optimiste est de volonté »

 

Témoignage d’une vraie optimiste

 

« Dans mon travail, je considère chaque problème comme une sorte de cadeau. Parce que les difficultés finissent toujours par se révéler une occasion de se dépasser. J’ai adopté cet état d’esprit il y a dix ans, quand j’ai perdu l’usage de ma jambe droite. Moi qui avais toujours foncé, j’ai dû accepter l’idée de ne plus tout contrôler. Et rechercher ce qui pouvait ensoleiller mon existence. Cette façon d’aborder la vie engendre une confiance en soi inébranlable. Est-ce lié ? Deux ans et demi plus tard, j’ai commencé à remarcher. »